« Chacal choisit sa proie. »
Par ces mots et en désignant un ennemi avec sa masse, le Fidèle appose la marque de son dieu sur sa victime. Car à l’image du chacal, les Orques n’éprouvent aucune réticence à se comporter comme des charognards. Piller un cadavre pour lui retirer ses armes aussi bien que sa force spirituelle est une chose naturelle pour un Orque. Car pour survivre sur les terres arides et désolées de Bran-Ô-Kor, la fin justifie les moyens.
Rage du Chacal.
Un Guerrier Chacal représente le réceptacle idéal pour permettre à sa divinité de manifester ses aspects les plus sauvages. Ainsi investi de l’esprit de Chacal, il devient quasiment insensible à la douleur et continue de se battre malgré les blessures les plus terribles. Ses adversaires doivent littéralement le couper en morceaux pour en venir à bout. Cet état de démence mystique a largement contribué à la réputation des Guerriers Chacals bien au delà des frontières de Bran-Ô-Kor.
Toile des réalités.
La réalité des Royaumes est comme une surface plane qu’il est possible de plier et déplier à volonté afin de rapprocher certains points pour les éloigner à nouveau.
Ténacité du Roc.
La foi des Orques en leur divinité est très empreinte d’animisme. Les théologiens q’Akkylannie prétendent que la force du culte de Chacal réside dans les capacités d’auto-suggestion des Orques. Lorsqu’un Orque est persuadé d’être possédé par l’esprit d’un rocher, se ruer sur lui équivaut à charger un mur de pierre.