Sceptre de soumission.
Longtemps réservés aux hauts dignitaires de l’Inquisition, les Sceptres de Soumission sont l’un des symboles sacrés les plus respectés et craints d’Akkylannie. La légende veut que le premier Sceptre aurait été remis à Arcavius par Merin en personne et que cet artefact reposerait au côté du fondateur de l’Akkylannie, en son tombeau.
Irradiant une aura aussi puissante et intense que le feu de Merin, les Sceptres sèment la terreur dans le cœur des imprudents et des infidèles qui osent y poser le regard. Le doute s’empare alors d’eux, puis vient la honte et enfin de désespoir. Leur dernière chance résidant dans le repentir et les flammes purificatrices de Merin dispensées.
Autodafé.
Après avoir été pour cible par ce sortilège, le guerrier sent la température autour de lui augmenter rapidement. En quelques secondes de petites flammes naissent sur sa peau et ses vêtements, lui occasionnant de nombreuses brûlures, certes superficielles mais terriblement douloureuses.
Immolation.
L’Immolation échauffe instantanément le corps de celui sur qui elle est lancée, l’entourant de flammes vives et crépitantes aux reflets rougeoyants. Rendu plus agressif et avide de victoire, la volonté de vaincre du guerrier est décuplée. Désormais seule la victoire de son armée compte, même si pour cela il doit sacrifier sa vie.
Rage ardente.
Lorsque le coeur des combattants commence à montrer quelques signes de faiblesse, que leur motivation commence à les abandonner, les Magiciens peuvent faire appel à ce sortilège pour leur donner un second souffle. La Rage Ardente s’empare alors du corps du guerrier, qui sent remonter en lui son désir de combattre et de terrasser ses ennemis. Inspiré par le feu purificateur de Merin, le combattant n’a plus désormais qu’un seul objectif : faire le plus de pertes possibles dans les rangs adverses.
Sceptre de soumission (Confrontation 1).
Ce sceptre est un symbole sacré. L'aura qu'il irradie est telle que tous les ennemis qui osent poser leur regard sur lui sont profondément touchés par le respect qu'impose cet artéfact.