Ce puissant artefact est si l’on en croit la légende, l’une des neuf clochettes dont le dieu Rat fit don aux Gobelins lorsqu’ils s’affranchirent du joug des Nains. Les autres clochettes ont aujourd’hui disparu et celle-ci constitue l’un des plus grand trésor du peuple de No-Dan-Kar.
Quand le sorcier fait retentir la clochette du dieu Rat, un frémissement de rage et de colère parcourt l’armée gobeline toute entière . Le courroux du dieu Rat se manifeste brusquement en elle et tous les Gobelins sont pris de tremblements frénétiques , tandis que des excroissances et des cornes apparaissent sur leurs corps. L’armée Gobeline apparaît alors comme une marée cauchemardesque résolue à submerger tous ses ennemis...
Le nom même de Gidzzit provient du grésillement produit par ce sort lors de son incantation. Pour lancer ce sortilège, Gidzzit doit graver le symbole de la Foudre sur un parchemin préparé à cet effet. Hélas, une fois la Foudre lancée, le parchemin se consume et devient inutilisable. C’est pourquoi le Sorcier emporte une quantité impressionnante de parchemins à chaque bataille et prie pour qu’il ne pleuve pas... Le sorcier cherche depuis longtemps un moyen de concevoir un parchemin réutilisable à l’infini. Un Shaman Orque lui aurait suggéré de tatouer le symbole de la Foudre sur son corps, mais il ne semble pas prêt à se risquer dans une tentative aussi hasardeuse... et malheureusement pour lui, les volontaires pour expérimenter ce procédé ne sont pas légion.
Quant le Shaman fait retentir la clochette, un frémissement de colère parcourt l'armée gobeline toute entière. Le courroux du Dieu Rat se manifeste brusquement en elle et tous les gobelins sont pris de tremblements frénétiques, tandis que des excroissances et des cornes apparaissent sur leurs corps.
(Confrontation 1, Clochette du Dieu Rat).
En agitant subtilement l'air, le magicien crée de petits tourbillons qu'il dirige. Ces tourbillons accélèrent et guident toutes les armes qu'ils enveloppent. (Confrontation 1, Sort Tourbillon de précision).