De nombreux poète ont comparé la terre nourricière au ventre fertile d'une femme. Au coeur des Bois Noirs, la terre n'est plus qu'un ventre mort et froid au sein duquel les mangeurs d'âmes veillent sur le sommeil de milliers de cadavres de guerriers drunes. Ils errent parmi les voix des morts, en proie à de constants cauchemars éveillés qui rongent leur esprit comme le temps ronge leur chair.
(Cry Havoc n°1, page 10).