Un jour, tu seras un garde mon fils! (CHO#46).
Petit déjà, Jorbaktis admirait les gardes de Khaurik et le statut dont ils bénéficiaient en ville.
Puissants et respectés, ils avaient le droit de hurler et de cogner sur n´importe qui, pouvaient porter des armes là où les autres devaient utiliser des porteurs et recevaient une solde substantielle leur permettant d´acheter chapeau à plumes et autres vêtements colorés. Surtout, on prétendait que les gardes de Khaurik avaient un accès quasi illimité à la cantine de la milice. Quel ogre n´en aurait pas rêvé ?