Brinkhz est entré dans la milice par cupidité et par goût des enquêtes financières. Il aime traquer les riches et a aidé Karz au cours de ses investigations. Brinkhz a immédiatement flairé la conspiration de l’ambassadeur Iraem. Il n’a pas réussi à démonter l’édifice de duperie et de mensonge bâti par l’Akkylanien mais il a compris que quelque chose n’allait pas  : la solde excessivement élevée de Karz ne peut pas provenir de la milice, dont la pingrerie n’est plus à démontrer. Cependant, on ne refuse pas une bonne solde et c’est pourquoi Brinkhz a accepté de rejoindre la « douzième garnison » lorsque Karz le lui a proposé, même s’il a compris que cette dernière est imaginaire. Il joue depuis un double jeu, touchant des fortunes pour vendre les secrets akkylaniens à la couronne cadwëe et inversement. Un tel désir de richesse ne pouvait passer inaperçu aux yeux des dieux qui veillent sur la ville. Brinkhz a été incarné lorsqu’il a amassé son millième ducat. Ses cassettes ont, à cette occasion, reçu une partie de la puissance du Désir qui s’insinuait en Brinkhz. L’orque est ainsi capable de ressusciter grâce au gros coffre qu’il porte sur son dos et qui contient toute sa fortune. Il y a toujours un pillard trop avide pour ouvrir ce coffre merveilleux, permettant à Brinkhz d’en émerger. Quant à la cassette qu’il tient sous le bras, elle permet à Brinkhz de neutraliser la puissance divine ou magique en l’y enfermant.